Depuis plus de deux siècles, les habitants des Alpes suisses, bavaroises et autrichiennes affirment avec une étonnante persistance que leurs montagnes abritent un animal fabuleux inconnu de la science : le Tatzelwurm, ou littéralement “ver à pattes”. Cette espèce de petit dragon possède un long corps écailleux semblable à celui d’une épaisse anguille ou d’un gros serpent sans queue ni cou. Il est muni de deux petites pattes atrophiées à l’avant et possède une tête ronde qui rappelle celle d’un chat. Une bien étrange combinaison…

Un mystérieux serpent-chat
Le Tatzelwurm est aussi doté d’une langue bifide, qui jaillit entre ses crocs énormes et acérés, et d’un regard perçant, qui glace de terreur tous ceux qui l’aperçoivent tant il est agressif. Sa peau est décrite tantôt comme blanche, tantôt comme noire, et elle est parsemée de tâches orange comparables à celles qui ornent les salamandres. La créature mesure, d’un bout à l’autre, entre 30 centimètres et un mètre selon les versions, et elle est capable d’effectuer des bonds prodigieux. De nature belliqueuse, elle n’hésite pas à attaquer ceux qui osent la déranger sur son territoire.
La vraie nature du Tatzelwurm
Cette description détaillée de l’apparence et des mœurs du Tatzelwurm a pu être établie grâce aux très nombreux témoignages recueillis au fil des années : plusieurs centaines de personnes prétendent en effet l’avoir aperçu dans des zones retirées des montagnes. Cependant, aucun Tatzelwurm vivant n’a pu être capturé ni aucun cadavre jamais retrouvé. Malgré cette lacune de taille, l’accumulation des témoignages a poussé plusieurs chercheurs à se pencher sur son cas et différentes hypothèses ont été envisagées. Pour certains, le Tatzelwurm serait une espèce inconnue de lézard venimeux de la famille des Hélodermes, normalement spécifique au continent nord américain. Pour d’autres, il s’agirait plutôt d’un cousin de la salamandre, ou encore d’une variété de batracien non répertoriée. Mais tant qu’aucun spécimen n’aura été découvert, le Tatzelwurm appartiendra plus sûrement au domaine des légendes …
Le Tatzelwurm est aussi doté d’une langue bifide, qui jaillit entre ses crocs énormes et acérés, et d’un regard perçant, qui glace de terreur tous ceux qui l’aperçoivent tant il est agressif. Sa peau est décrite tantôt comme blanche, tantôt comme noire, et elle est parsemée de tâches orange comparables à celles qui ornent les salamandres. La créature mesure, d’un bout à l’autre, entre 30 centimètres et un mètre selon les versions, et elle est capable d’effectuer des bonds prodigieux. De nature belliqueuse, elle n’hésite pas à attaquer ceux qui osent la déranger sur son territoire.
La vraie nature du Tatzelwurm
Cette description détaillée de l’apparence et des mœurs du Tatzelwurm a pu être établie grâce aux très nombreux témoignages recueillis au fil des années : plusieurs centaines de personnes prétendent en effet l’avoir aperçu dans des zones retirées des montagnes. Cependant, aucun Tatzelwurm vivant n’a pu être capturé ni aucun cadavre jamais retrouvé. Malgré cette lacune de taille, l’accumulation des témoignages a poussé plusieurs chercheurs à se pencher sur son cas et différentes hypothèses ont été envisagées. Pour certains, le Tatzelwurm serait une espèce inconnue de lézard venimeux de la famille des Hélodermes, normalement spécifique au continent nord américain. Pour d’autres, il s’agirait plutôt d’un cousin de la salamandre, ou encore d’une variété de batracien non répertoriée. Mais tant qu’aucun spécimen n’aura été découvert, le Tatzelwurm appartiendra plus sûrement au domaine des légendes …
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