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Un animal qui évolue entre science et éthique
On reproche fréquemment aux défenseurs des animaux de ne rien faire pour les humains, notamment pour les enfants. Or, force est de constater qu'on rencontre souvent les mêmes personnes dans les différentes organisations, qui font don de leur personne avec autant de tendresse pour les uns que pour les autres. Ces personnes ne sont pas, loin s'en faut, des folles hystériques, comme sont fréquemment dépeints les activistes des droits des animaux, mais des citoyen(ne)s responsables qui ont compris qu'on a un cœur ou qu'on n’en a pas, et qu'il n'est pas divisible.
Lire la suite : Révision de la loi sur la protection des animaux
On en parle avec consternation:
Les Macaques de l’Université de Zürich
On a construit un avant-toit pour protéger leur enclos extérieur des intempéries. La classe? Bien au contraire: ce n’est pas en considération du bien-être des animaux que cette structure a été réalisée, mais dans le but de les empêcher de boire ne seraient-ce quelques gouttes en cas de pluie…
Car c’est les privant de boisson que l’on obtient leur „coopération volontaire“ au moment des expériences. Immobilisés dans une chaise de contention, des électrodes implantés dans le cerveau lors de lourdes interventions chirurgicales, ils exécutent les tâches exigées par les chercheurs, anxieux de recevoir en récompense quelques gouttes de jus de fruits dilué.
Par le biais de ces expériences du degré de gravité le plus élevé, le degré 3, le chercheur en neurosciences, Valerio Mante souhaite, tout comme ses prédécesseurs Daniel Kiper et Martin Kevan en 2006, étudier la relation chez l’humain entre les maladies psychiques et le comportement.
Personne ne semble se préoccuper des souffrances des macaques qui, en liberté, ont une vie très active, chacun une personnalité bien définie avec une structure familiale compliquée et bien structurée.
Ils ressentent le plaisir, la peur et bien sûr la douleur et communiquent constamment entre eux.
En 2009, le Tribunal fédéral avait interdit ces expériences, jugées intolérables parce que particulièrement lourdes et en violation flagrante de la dignité animale et de toute limite morale et éthique. Une nouvelle demande avait alors été déposée par l’institut de Neuroinformatique auprès du SCAV (Service de la Consommation et des Affaires Vétérinaires), approuvée en 2015. Malgré le recours de la part de trois membres de la commission cantonale pour les expériences sur animaux auprès du Grand Conseil du canton de Zürich, le Tribunal administratif zurichois a maintenu la décision du SCAV et, par son arrêté du 5 avril dernier, donné le feu vert à ces expériences.
Pour la Ligue Vaudoise pour la Défense des Animaux et 50 autres organisations suisses de protection des animaux, il reste clair que ces animaux sont cruellement instrumentalisés. Le jugement ne tient pas compte du bien-être de l’animal et il crée une insécurité juridique sur les questions importantes pourtant explicitement clarifiées par le Tribunal Fédéral. Cet arrêt de la plus haute instance reste la norme dans toute la Suisse et les organisations de protection des animaux continueront à invoquer son observation.
Les acheteurs sont des Galgueros, des chasseurs qui veulent amortir au plus vite le prix qu’ils ont payé pour leurs chiots. Il leur importe donc que les animaux acquis courent le plus vite possible.
La plupart de ces chiens sont détenus dans des conditions déplorables et sont mal nourris. Vers deux ans, leurs performances commencent à baisser; ils perdent ainsi le droit d’exister, seuls seront épargnés quelques sujets génétiquement intéressants pour de nouvelles reproductions.
Vu le grand nombre d’élevages, le prix d’achat des chiots est relativement bas. Le Galguera achètera donc un chiot et se débarrassera de son «vieux» chien, âgé de deux à trois ans.

1er acte


Il peut bien porter un lourd "manteau" – les blessures spectaculaires sont ainsi moins fréquentes –, il n’est pour autant pas protégé contre les contusions et entorses graves et, s’il tombe, les dégâts peuvent être aussi importants pour l’animal que pour l’homme…

Afin d’affaiblir les taureaux avant le spectacle, on a recours à diverses méthodes, les unes plus barbares que les autres.
l’« aficionado » à pleines pelletées de ce vocabulaire technique.

L’homme aime tuer. Tuer pour tuer. L’homme aime le massacre. Allons allons, dit le Sentencieux, le taureau est par nature un animal combatif, il aime se battre, il est né pour ça. On ne fait que lui fournir l’occasion de donner libre cours à ses instincts, et de le faire glorieusement. Oui, les taureaux se battent entre eux, mâle contre mâle, à coups de corne, à la saison du rut. Les cerfs aussi, les chevaux aussi, les scarabées aussi. Jamais à mort. Le vaincu s’incline et se soumet. Quant à la gloire de l’arène…
Les innombrables stands d'information anti-corrida, les 250000 signatures recueillies contre cette barbarie, avaient semble-t-il rempli leur mission. La Ligue avait pris part au combat aux côtés des associations alliées, et c'est avec bonheur et gratitude que l'une de nos activistes habitant la capitale catalane apportait aux autorités de Barcelone - accompagnés d'un grand bouquet de fleurs - les remerciements de centaines de passants genevois.
ministre espagnole de l'environnement.

Alors que la Catalogne est en train de se débarrasser de cette «culture» indigne, le lobby taurin essaie par tous les moyens de la maintenir sur le sol français, contre la volonté de l'absolue majorité de la population dont les 80% réprouvent la corrida.
Déposée par une députée des Alpes Maritimes, un projet de loi visant à abolir la corrida a été cosigné par plus de 50 députés à ce jour, mais il en faudrait davantage pour que cette proposition puisse être débattue à l'Assemblée Nationale. Dans quelques jours, les 577 députés de France recevront le DVD «Alinéa 3»: quinze minutes d'images très dures extraites de 5 corridas filmées par Jérôme Lescure pendant l'été 2004 dans les arènes françaises. Ce document sera accompagné d'un livret expliquant la réalité technique de la torture tauromachique. L'alinéa 3 est le paragraphe dans la loi française pour la protection des animaux qui stipule que les corridas et les combats de coqs sont tolérés dans les localités «à tradition ininterrompue», Nîmes par exemple, qui se vante de n'avoir cessé ses sanglantes festivités depuis les ténèbres des temps. Cette notion est reprise dans la Constitution européenne qui sera soumise à un référendum le 29 mai prochain. Le film sera diffusé à Cannes fin mai lors d'une projection-débat organisée par le Comité AntiCorrida du Var.
Il existe six écoles de tauromachie dans le sud de la France - agréées par le Ministère de la jeunesse et des sports - où des enfants de 7 à 17 ans apprennent à torturer des veaux, vachettes et jeunes taurillons achetés pour la circonstance. Certaines communes vont jusqu'à puiser dans la caisse des allocations familiales pour financer ces écoles de la torture. Au printemps, dans le cadre de l'animation des «fêtes des manades», des démonstrations ont lieu en privé devant 200 à 300 pervers avides de plaisirs sanglants. En été, les jeunes gens, engoncés dans un ridicule «habit de lumière», viennent faire montre de leur «talent» dans des corridas appelées novilladas, avec mise à mort d'un tout jeune taureau.
Fort heureusement, le nombre d'élèves décroît pour ce qu'il faut désigner par son nom: un massacre.
Un nombre important d’entre eux n’est pas seulement en recherche de soleil mais se déplace expressément pour assister à différents spectacles que des maires et organisateurs croient devoir programmer dans leur ville, par exemple, des courses de taureaux; des courses de taureaux auxquelles initialement ne prenaient part que de gros rustres régionaux, mais qui ont fini par séduire de sages buralistes et commerçants des deux sexes en quête de manifestations oh combien viriles. Donc, les maires soucieux de distraire ces touristes essaient de donner de plus en plus d’essor à ces divertissements.

C'est son dernier rêve.
Co-Director/Editor: Chris Dainty
Animator/VFX: Bradley Cayford
Animator/VFX: Fabian J. Cuevas
Animator/VFF: Chris Dainty
Animator/VFX: Jennifer Dainty
Animator/VFX: Phil Lockerby
Composer: Marjan Mozetich, Composer
Producer: Noam Rabinovitch, Producer
Production Company: Jasper Films & Dainty Productions Inc,
Funder: BravoFACT
Entre 2009 et 2010, elle a sillonné les trois cantons pour témoigner d'une réalité que beaucoup de gens ignorent sur les conditions de vie des animaux de rente: entassés, enfermés dans l'obscurité totale, nourris de pourriture, entravés, blessés...
L'image du paysan "qui aime ses bêtes", ainsi que celle des grands distributeurs qui prétendent, de nos jours, jouer le carte éthique, en ressortent écornées.
La dernière porte que Kate a ouverte est celle de l'abattoir, où les animaux terminent leur vie, souvent égorgés alors qu'ils sont encore conscients.
Message vidéo de Matthieu Ricard : "Refusons la torture en boîte"
Les sombres mois de novembre et de décembre sont ceux du massacre dans les élevages intensifs d’animaux à fourrure. L’heure des coups, des cris, de la panique, de l’horreur des tenailles auxquelles ils n’échapperont pas, de l’agonie, des dépouilles qui s’entassent, du sang et de l’odeur de la mort.
Chez nous c’est le moment où les arrogantes en mal d’attention ressortent leurs «peaux de chagrin». Elles ne craignent point de blesser celles et ceux – les enfants par exemple – qui, sensibles aux souffrances infligées aux animaux dont les peaux sont ainsi exhibées, cherchent en vain à comprendre comment, dans une société qui se veut évoluée, un être «humain» peut se rendre complice de tant de cruauté.

Ne recouvrez pas votre corps et votre conscience de peaux d’animaux tués alors qu’ils n’étaient que des ados! Ces malheureux visons et co, dont les dépouilles, cousues ensemble par dizaines, n’ont connu dans leur vie que désolation et douleur – étaient-ils frères, sœurs, cousins peut-être?
Cet automne, engagez-vous en renonçant à acheter un vêtement orné de fourrure authentique, car fourrure rime encore et toujours avec torture.
Donc, vous savez. Et sachant, vous mangez. Mangez? Nous savourons, voulez-vous dire. Nous dégustons, lentement, lentement, nous faisons fondre sur la langue. Nous nous concentrons, nous fermons les yeux, nous nous préparons à goûter au plaisir des dieux. Le foie gras… c’est un poème, un hymne au créateur, une échappée sur le paradis. C’est bien simple, LE FOIE GRAS, C’EST LA FRANCE!
Oui, mais pour les oies, vous savez? Eh bien, oui, nous savons. Et alors? Les oies n’ont-elles pas été créées tout exprès pour cela? Ne furent-elles pas dotées d’un foie dont les merveilleuses possibilités ne s’épanouissent que par le gavage?
Donc vous savez. Et ça ne vous gêne pas. Ou, si ça risque de vous gêner, vous pensez vite à autre chose – au bouquet du vin qui se mariera le plus harmonieusement à cette merveille, par exemple. Vous avez bien de la chance, bien de la chance d’être un salaud. Un innocent salaud de brave type normal. Pour un raffinement gastronomique, pour un plaisir un rien subtil sur le bout de la langue, ils vouent la vie d’un être vivant à une abominable torture. Ce ne sont pas des sadiques, ils ne feraient certainement pas de mal à une mouche – la mouche n’offre aucun intérêt gastronomique – mais une saveur «sublime» justifie l’atrocité, qu’ils ne commettent d’ailleurs pas eux-mêmes, ni ne voient commettre.

Lire la suite : Le foie gras: l’organe malade d’un animal torturé
Pendant 28 jours, la poule n'a quitté son nid que pour aller manger et boire en hâte; patiemment, elle a couvé ses oeufs. Cette nuit, les poussins vont éclore. Au prix d'un énorme effort, ils parviennent à s'extraire de la coquille. Une fois dehors, épuisés, ébouriffés, leur duvet tout mouillé, ils se reposent le temps de se sécher - pour se transformer en d'adorables petits pompons dorés ressemblant à des fleurs de mimosa - avant de se réfugier sous les ailes douillettes de leur mère gloussant tendrement.

Toute la tristesse et la misère se lisent dans les yeux de ces chiens. Je prétends vivre à Hongkong et désirer acheter un chien de mon pays natal, l’éleveur nous présente trois chiots de 4 mois, un plus adorable que l’autre. Je regarde les trois et me rends compte que je ne peux choisir ; prendre un et laisser les deux autres ?

Une fois la fête terminée, on rencontre surtout les lapins au département boucherie, sur les annonces des grandss surfaces, telles ces «actions de lapins frais de France» où dans l’étalage, une rangé de corps nus sont exposés. Pour que ces cadavres soient disponibles à bon marché pour leurs consommateurs, ils doivent être produits en masse, c'est-à-dire de façon industrielle. Si nous avons tous vu ces clapiers de lapins les uns plus misérables que les autres et tous en violation flagrante avec la loi suisse qui stipule clairement que la détention des animaux doit être conforme aux besoins de leur espèce, bien peu de consommateurs se représentent la détention des lapins dans des usines industrielles qui fabriquent les «lapins frais».

PS: Très prisée l'hiver passé en ornement de jaquettes ou en garniture d'anoraks, toujours disponible dans les magasins d'animaux sous forme de «souris en fourrure» pour amuser les chats et chiens privilégiés, la fourrure de lapins provient elle aussi de ces effroyables usines à animaux. Ces dépouilles sont produites en quantité industrielle par la Chine, dont plus personne ne peut prétendre ignorer comment elle détient et met à mort les animaux.
S.W.
Essayons, lors d’un prochain achat d’œufs, d’avoir une petite pensée reconnaissante pour ce magnifique don de la nature qu’est l’œuf fabriqué par une poule. PS: Lors d’achat d’œufs, assurez-vous qu’ils sont issus d’élevage de poules en plein air.

Ce qu’il faut savoir
avant de se laisser leurrer par les fourreurs :
Par la diffusion de ses périodiques dans les ménages suisses, plus d’un million de listes furent distribuées et quelques associations amies – dont la Ligue vaudoise contre la vivisection – acceptèrent d’insérer l’initiative à leurs publications respectives.

C’est avec beaucoup d’amertume et une très grande tristesse que nous constatons que ce public qui se déclare si choqué quand confronté momentanément à la réalité de la souffrance animale, a été finalement trop indifférent pour accomplir ce petit geste de solidarité avec les animaux.
Insupportable aussi est le fait que les dépouilles de ces animaux soient importées dans notre pays, principalement sous forme de garnitures de manteaux et anoraks, laconiquement appelées fourrures.
Les fourreurs suisses, que les médias avaient jugé opportun d’interroger «dans un souci d’équité» aux côtés des associations de protection des animaux (!) ont aussitôt saisi l’occasion pour s’assurer de nouveaux clients, ayant beau jeu de faire de leurs élevages de petits paradis de la détention moderne: «Madame, Monsieur, ce que vous achèterez chez nous sera une fourrure propre, propre comme pourra l’être votre conscience!».

L’influent fourreur lausannois – pour qui le port de la fourrure est une tradition millénaire – avait fait connaître sa toute personnelle conception de la zoologie dans un quotidien romand, divisant le monde animal en trois catégories: l’animal de compagnie, l’animal de rente et l’animal sauvage. Alors que le premier pouvait prétendre aux soins et à l’affection de ses propriétaires, le second n’avait de droit que celui de servir de matière première aux marchands...
Nous n’avons pas été surpris du refus de Monsieur Benjamin de nous indiquer les adresses de ses élevages. Son invitation à nous en remettre aux communiqués de presse des associations de fourreurs aurait été amusante si le sort de malheureux animaux n’avait été en question. Mais Monsieur Benjamin ne pouvait se permettre de nous révéler les adresses de ses fermes prétendument conformes aux exigences spécifiques des espèces – des terrains spacieux et boisés offrant aux animaux la possibilité de se cacher et de se creuser des terriers – car ces fermes modèles n’existent pas, et pour cause: une telle détention ne serait absolument pas rentable!
Nous sommes confrontés quotidiennement au problème des colonies de chats harets en surnombre ; animaux en détresse, qui se terrent dans nos cités ou errent dans nos campagnes. Ils sont condamnés à vivre dans des conditions dramatiques, constamment la peur aux tripes, exposés à de nombreuses maladies et à la cruauté des hommes. Leur prolifération incontrôlée est due à l'absence d'actions adaptées pour réguler leur population. Il existe pourtant une solution : la stérilisation, mesure simple et efficace.
Tous les chats d'une colonie sont capturés dans le but de les stériliser, vacciner, vermifuger, déparasiter et identifier. Ces minons, qui après l'intervention retournent chez eux, forment des colonies stables, au sein desquelles chaque individu a sa place bien précise, ses amitiés, ses habitudes et ses liens sociaux. Et, bien sûr, ils ne vont plus se reproduire, donc plus de raisons de perpétuer ces carnages de chatons étouffés, noyés, assommés ou encore tirés dans l'illégalité la plus absolue dans l'obscurité de certaines granges. ( CW )
Dans un nombre croissant de pays, comme en Autriche, Belgique et autres, la stérilisation des chats errants est obligatoire. Pourquoi pas encore chez nous ?
Si vous désirez soutenir cette démarche, signez notre pétition au lien :
www.kastrationspflicht.ch/fr/
la nouvelle formulation de la Loi
"Le détenteur d'animaux doit prendre les mesures que l'on peut raisonnablement exiger de lui afin d'empêcher une reproduction excessive de ses animaux."
Cette formulation doit être complétée par le supplément suivant:
"Les chats domestiques libres de se déplacer de manière non contrôlée sont à faire castrer par un vétérinaire."
Pétition pour une Obligation de Castration des Chats libres de leurs déplacements
«Les organisations de protection animale Network for Animal Protection (NetAP) et Stiftung für das Tier im Recht (TIR) ainsi que les organisations et signataires participantes demandent au conseil fédéral et au parlement d'instaurer une obligation de castration des chats libres de leurs déplacements, pour endiguer la reproduction excessive des chats et ainsi réduire la souffrance des chats en Suisse.»
Entre 100'000 et 300'000 chats errants vivent en Suisse. Contrairement à une idée très répandue, il existe aussi dans notre pays un problème d'animaux errants. Une des causes principales est que des propriétaires ne castrent pas leurs chats libres de leurs déplacements, et que ceux-ci engendrent continuellement de la progéniture avec des chats non castrés sans propriétaire. Pourtant, l'ordonnance sur la protection des animaux indique explicitement que les détenteurs d'animaux doivent prendre les mesures que l'on peut raisonnablement exiger d'eux afin d'empêcher une reproduction excessive de leurs animaux (art. 25 al. 4 OPAn). Toutefois, il est pratiquement impossible pour le détenteur de contrôler le comportement d'accouplement d'un chat non castré libre d’aller et de venir à sa guise.
Cette problématique des animaux errants est liée à beaucoup de souffrance animale. Si les chats se reproduisent de manière excessive, d'importantes populations vont rapidement se former sur une zone géographique restreinte, ce qui entraîne des problèmes d'hygiène et la prolifération de maladies. Beaucoup d'animaux meurent de manière atroce, parce qu'ils ne reçoivent pas de soins vétérinaires ou ne trouvent pas suffisamment de nourriture. Cette reproduction incontrôlée a également pour conséquence que tous les ans, d'innombrables jeunes animaux sont déposés dans des refuges pour animaux ou abandonnés. Particulièrement dans les régions rurales, les chatons non désirés sont en partie toujours encore noyés ou tués d'une autre manière en maltraitant les animaux.
Pour ces raisons, la détention de chats non castrés libres dans leurs déplacements est hautement problématique du point de vue de la protection animale. La castration des chats libres dans leurs déplacements est une mesure appropriée, qui permettrait d'éviter que la population d'animaux errants continue d'augmenter, de réduire la souffrance des chats et de réguler durablement le nombre des chats en Suisse. Les dispositions juridiques actuelles ne vont pas suffisamment loin. Pour cela, les initiateurs et signataires réclament l'introduction d'une réglementation valable dans toute la Suisse, qui obligerait l'ensemble des détenteurs de chats libres de leurs déplacements de les faire castrer par un vétérinaire.
Le calvaire des canes inséminées
Aucune attention n'est portée à ces animaux comme en témoigne cette terrible séquence montrant la mise à mort par dislocation du cou d'une cane...
Agissons pour les animaux !
La campagne lancée par Pollinis pour l'interdiction des pesticides tueurs d'abeilles bat son plein !
Il y a quelques semaines, notre association a lancé une vidéo en français, en anglais et en allemand, pour informer un maximum de personnes en Europe sur la catastrophe sans précédent qui nous attend si nous laissons ces produits décimer les abeilles et les pollinisateurs.

Pour signer la pétition de la communauté d'Action Antivivisectionnistes Suisse, cliquez sur:
Air France est l'unique compagnie aérienne européenne à pratiquer encore le sale commerce de singes vers les laboratoires de vivisection du monde entier.
Signez la pétition lancée par la Communauté d'actions antivivisectionnistes Suisses à l'adresse d'Air France,
Informations et pétition à signer sur www.agstg.ch
Elle vous propose des séances photos avec votre animal de compagnie. Une partie de l'argent est reversé en faveur de l'association de Dana.
Plus d'infos sous www.rolda.ch
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Ouverture du Cabinet Vétérinaire
Ouverture du Cabinet Vétérinaire dans la Maison des Chats Quelle merveilleuse nouvelle ! Nous avons le plaisir de vous annoncer que depuis le mois de mars 2018, la Maison des Chats dispose désormais de son propre cabinet vétérinaire et d'une salle d’opération. Un important investissement, de grands avantages.mardi 12 juin 2018
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